Les hommages

Sans qu'on n'ait plus trop eu la possibilité d'aller la saluer et l'encourager, la voici qui nous quitte, Agnès qu'on n'a jamais oubliée depuis le départ de l'Ami Henri : 32 ans de Reconnaissance et d'Amitié pour une Maman, Mamy et Arrière-Grand-Mère empreinte d'un esprit rassembleur.

"Tous avec Toi, Mamy" : oui, nous l'étions aussi, en pensées ou lors de nos rencontres chaleureuses (Volley ou autres), où on évoquait le passé et l'avenir, sans oublier l'actualité ...

Un espèce de reconnaissance, pour une Dame, entourée par sa large famille bien connue, de la part d'Amis qui n'ont jamais voulu être des ingrats ou céder à l'oubli !

Ici encore, avec un Cœur un peu gros, mais sur fond de félicitations pour Mission Accomplie, nous venons par la présente déjà, te dire MERCI, Agnès, pour tout ce que tu étais pour nous et pour ta famille : un modèle de Sérénité et de Dévouement dans la simplicité de nos foyers ardennais
BRAVO, vraiment !

A toutes vos filles dans la peine, leurs conjoints et leur famille, nous redisons ici, Agnès et Henri, l'Estime qu'a toujours été la nôtre par delà les aléas de l'existence.

Pars en Paix, l'Amie Agnès, qu'on appréciait beaucoup et à qui on souhaite bonne route pour retrouver ton Henri, régulièrement consulté en pensées(!), un peu comme un père et à qui on adresse encore si souvent un clin d’œil complice, au cimetière aussi...

Que ton exemple de générosité soit un modèle pour nous tous, Agnès, à qui nous rendons Hommage avec une pluie d'optimisme qu'on passera partager.
Et, comme disaient mes cousines ou cousin ayant récemment perdu leur maman : " Une Maman formidable fait une Mamy exceptionnelle ! ".
"Et même extraordinaire! " doivent témoigner tes vingt arrière-petits-enfants que tu chérissais, tant en paroles qu'en pensées ou par action, sans omissions ...

Au-revoir, Agnès !

Sincères condoléances à toute la famille !

Recevez mes très sincères condoléances et l'expression de ma plus profonde sympathie.

A mon grand frère qui n'était pas un homme mais bien un sûr homme,un grand frère, un ami, un exemple. Repose en paix grand frère la déchirure est tellement grande que je ne croix pas quelle se refermera un jour,sauf le jour où nous nous reverrons. Ta gentillesse était tellement immense !mon grand frère, veille sur nous et repose en paix

Sommes de tout coeur avec vous autres du malheur qui vous a frappé pour perdons un ami gaie et dynamique qu était serge

Papa,
merci pour tout ton amour, éducation, et ton énorme soutien que tu m'as apporté durant ma vie ainsi que comme super grand-père de Tatiana.
Repose en paix maintenant sans plus aucune souffrances.
Bisous papa.
Je t'aime.

Comme tu prenais plaisir à le rappeler, tu es né dans le charmant village de Chassepierre. Tu as connu la guerre, la fuite en France pour quelques mois pour échapper aux envahisseurs. Ces tragiques événements ont marqué ton enfance.

Tu termineras tes études à l’école ménagère de Jamoigne apprenant notamment la couture.

C’est à Les Fossés chez ta marraine que tu fais la connaissance d’un élégant militaire, originaire de Lutremange qui rendait visite à sa famille d’accueil. Henri devint ton mari en 1955. Vous établissez alors votre domicile à Bertrix rejoignant tes parents.

Vous décidez de travailler ensemble et c’est ainsi que furent fondées les bases de la notre entreprise actuelle. Les machines à coudre, les jouets et les fidèles compagnes de ton mari, les abeilles meublèrent ta vie pendant de longues années.

Quelle admirable équipe vous formiez avec ta maman, Simone.
Vos armoires, toujours remplies, étaient d’un grand secours lorsque nous manquions d’un ingrédient pour terminer notre repas. On se souviendra aussi de l’odeur de la bonne soupe qui envahissait notre salle de cours. Quelques clients privilégiés en recevaient.

Je garderai aussi en mémoire, ton appel suivi du tintement de la cloche, unique façon de prévenir HENRY de la venue d’un client, d’un ami et du moment de déguster quelques bons morceaux de tarte.

En 1978, je repris le commerce et tu m’aidas au mieux jusqu’à ta retraite.

Ta maman prenant de l’âge, tu l’accueilleras chez toi jusqu'à son décès.

De douces années de retraite agrémentées par tes petits et arrières petits enfants te comblèrent.

Hélas, la maladie de notre papa Henri perturbera le cours de cette paisible vie. Avec gentillesse, amour et patience, tu le soignas au mieux.

Voici 4 ans la perte de ta vision ne te permettait plus une vie seule et tu pris le chemin du hôme St-Charles à Bertrix.

Ta mémoire intact nous surprenait et tu prenais beaucoup de plaisir à relater le passé avec tes visiteurs.

Tu manifestais toujours de l’intérêt pour notre activité commerciale.

Il y a peu de temps, ta santé se dégrada rapidement et tu pris la route vers un long voyage.

J’ai certainement oublié d’autres moments de ta vie mais tu as partagé avec moi mes premiers jours et de longues années passionnantes. Je t’ai accompagnée durant tes derniers jours

Tu as réussi ton passage sur terre en étant honnête, humble et attentive envers tous.

La mort comme la maladie n’effacera jamais notre souvenir de toi

Une personne chère ne nous quitte jamais . Elle vit au plus profond de notre cœur et pour la revoir, il suffit de fermer les yeux.

Repose en paix maman.

Monsieur,Clémence se joint à moi pour vous presenter ainsi qu a votre famille nos plus sinceres condoleances pour le départ de votre chere maman. De tout coeur avec vous nous partageons et comprenons bien votre grande peine.Nous vs souhaitons de trouver l affection et le courage aupres de vos proches pour continuer a la vivre autrement presente chaque jour.

Un bruit diffus nous avait sensibilisés au fait que notre voisin et ami Jean était en grandes difficultés, et on s'était promis de passer le saluer et l'encourager dans son long combat, dès que je retrouverais une meilleure mobilité...
J'ai remis à demain ; je découvre,en rentrant, in the coldness of the night, que c'est hélas trop tard et m'en culpabilise, bien sûr.

Ici déjà, à l'annonce de son départ, je tiens humblement à lui demander indulgences vu qu'en pensées, je n'ai pas oublié de le soutenir en ce début d'année où on pouvait, tout juste encore, après le Roi, exprimer nos bons souhaits.

Merci à Toi, Jean, pour l'Homme calme et attentif que tu étais, au côtés de Alice, sœur de tante Josiane, elle aussi disparue.

Merci à des voisins discrets, mais tout de même fort proches, avec cette superbe mentalité d'accueil probablement inspirée par cette facette de commerçant réellement proche du client-ami !

Tiens, il me revient cette impatience de gosse attendant par temps de neige, la livraison de notre première TV en 63, en fredonnant la Chanson adaptée de "Tombe la neige" : Tu ne viendras pas Edouard, je crie de désespoir, mais tombe la neige, impassible manège..."

Souvenirs, souvenirs, d'un autre temps, avec nettement plus de proximité et de simplicité !

J'arrête ici, non sans présenter à Alice, à sa famille et à ses proches, nos sentiments émus. C'est vrai que se tournent des pages d'un passé nostalgique, que nous ne regrettons pas...

Merci à Toi, Jean, pour l'Homme que tu étais, gâté par ta tendre épouse et tes enfants appréciés à divers titres.

Courage à vous tous et bon voyage à Toi, Jean, avec l'image et le son de ceux qui t'ont aimé !

Le centenaire qui lui etait promis n'aura donc pas eu lieu. Usée et très affectée du départ de Catherine et de Maman elle aura été jusqu'au bout de ses forces, sincères condoléances à Ginette et à toute sa famille.

RIP bompa

Comme un train glissant sur ses rails, la nouvelle a rapidement voyagé : Julien vient d'embarquer sans ticket, vers un autre monde !

Bien sûr, on le savait en difficultés, mais depuis plusieurs mois, il résistait avec son profil aminci, certes.
Nul doute qu'il avait gardé son esprit blagueur et cette sympathie naturelle qu'on lui connaissait aux Chemins de Fer ou ailleurs, tandis qu'il représentait un des derniers conducteurs de la génération de mon beau-père Henri.

Te voici donc parti, l'Ami Julien, après une longue et heureuse retraite, qui, longtemps, t'a permis de rester en contact avec tes nombreux Copains et Amis dont je me sentais faire partie, à chacune de nos chaleureuses rencontres.

Hommage à Toi et à ce que tu étais pour nous ; condoléances à tes enfants souvent côtoyés et à leurs familles, mais aussi à Andrée, ton épouse, qui voit partir son merveilleux complice, soucieux tous deux d'embellir le voisinage, en créant une vision étonnante de tant de plantes fleuries dont vous et nous, étions si fiers !

Remets, Cher Julien, le bonjour à tous ceux d'une équipe inoubliable qui t'ont précédé même si je suis déjà sûr que tu leur apportes d'emblée ton esprit humoristique et frondeur. Ta clarté rayonnante aussi, pour ne pas dire autre chose : fallait co qu' ca arriv' ...
Que ça continue à rouler au mieux pour Toi, Julien, qui n'as pas craint les journées sombres de l'au-revoir puisque ça s'ouvre déjà à l'instant signe avant-coureur de voir bientôt refleurir ce que tu as semé !

Et encore merci pour tout, vieil Ami que je salue ici déjà, respectueusement.

Marie-Louise : une des Aînées de la Commune, qu'on aimait aller saluer et encourager en souvenir de ce brave Arsène qu'on a connu, côtoyé et apprécié, jadis, dans le cadre de sa fonction dirigeante des Pompiers, ou ailleurs aussi.

Une Amie respectueuse dont j'ai parfois épinglé l'anniversaire, et qui, de bon cœur, entonnait avec moi "La Chanson des Baudets" pour épater sa copine de chambre.

Une Dame de bonne rencontre que je n'ai pas oser réveiller voici 4 jours, pour lui présenter mes bons vœux, Elle que je sentais bien en difficultés majeures.

Une Citoyenne de bonne rencontre qu'il faisait toujours plaisir de rencontrer pour échanger des propos positifs.

Une Maman, Belle-Mère, Mamy et Arrière, d'Amis et Connaissances à qui on désire présenter humblement nos condoléances émues tout en souhaitant à leur Matriarche, un bon voyage pour retrouver son Arsène, ou encore un Ami sportif, son Fils, bien trop tôt disparu !

Va, Marie-Louise, avec mon chaleureux merci d'avoir été ce que tu étais et resteras pour beaucoup !
Que mon modeste hommage, teinté de reconnaissance, t'accompagne vers l'autre monde !

Monsieur Marcel Pierret. Joueur de la RES Orgéo dans les années 70, Marcel était fier de porter la vareuse rouge et blanche. Il faisait partie de ces joueurs qui jouaient au foot pour le foot sans jamais se prendre la tête. Il avait toujours un bon conseil a donner aux jeunes que nous étions à l'époque. Merci pour l'exemple que tu as été ! Repose en paix Marcel ! Sincères condoléances à toute sa famille!

Au cœur de la nuit, je découvre le départ d'une de nos aînées, dont je suis responsable communal depuis belle lurette.
Voisine de ma filleule, Jeanne, une Maman, une Mamy, s'en va donc sans bruit.

A ses filles, à la Famille bien connues, Brigitte et moi, ainsi que nos enfants, tenons à adresser nos sincères condoléances, associées à notre sympathie renforcée dans ces cruelles circonstances.

Courage à vous tous, et au-revoir à Vous, Madame !

Etait-ce Toi, Henri, qui tonnais encore dans le ciel fortement éclairé de la nuit de ce vendredi, avant que je ne découvre sur Enaos, ta disparition que je présumais proche lors de notre dernier entretien ???

Un Ami de longue date, qu'on avait bien du mal à pouvoir rencontrer, ces derniers temps, s'en va donc rejoindre les siens, hélas disparus récemment.
Non sans faire remonter en surface, les nombreux souvenirs pittoresques qu'il nous a laissés, à travers les nombreux contacts chaleureux qu'on a pu avoir à Bertrix, souvent dans son repaire de la rue de l'Hôpital, à équidistance de l'église, la Place des 3 Fers, la maison de repos et le cimetière.

Grand merci, Henri, pour ton Amitié, ton ingéniosité et pour ton sens du service à rendre, lorsque tu le pouvais, pour dénouer des situations critiques.
Pour tes éclats de voix, auxquels on était humoristiquement habitués, et qui nous ne faisaient plus attraper la chair de poule, avec ou sans Fipronil ...

Tu remontes donc la rue de quelques dizaines de mètres avant ton dernier voyage qu'on te souhaite agréable pour retrouver ceux que tu as connus et appréciés, dont le Doyen GERARD, régulièrement croisé, ton épouse Yvonne et ta fille.

Merci pour ces nombreux contacts, l'Ami Henri, même s'ils s'étaient espacés ces derniers temps, vu les situations difficiles qui ont émaillé tes derniers mois en te faisant bien souffrir.

Au revoir, Henri ; nos pensées amicales vont vers Toi et tes proches à qui on présente, ici déjà, nos condoléances émues !
Puisses-tu retrouver cette sérénité dont l'actualité récente, t'avait hélas pu priver.

Bon long voyage, Henri, qui n'as jamais craint les kilomètres à avaler.

À la douce mémoire de Lucien Prignon...
On a tant de souvenirs...
On a tant de choses à dire...
Les larmes coulent de nos yeux et on reste à court de mots pour exprimer tous nos sentiments ...
C'est au fond de nous plutôt que nous nous parlons...
Tu étais le voisin de la famille de ma fille mais, tu étais plus qu'un voisin... Mon Samuel était si heureux avec toi. Il aimait venir chez toi, passer des heures, se promener, jouer avec toi...
Tu es dans nos pensées et nos prières, cher Lucien.
Que tu repose en paix...
        Tu resteras dans nos pensées et dans nos souvenirs pour toujours.

Saluer ici encore, Dame Marcelle et lui rendre Hommage pour le courage, la bonté et la gentillesse qu'elle ne manquait jamais d'afficher aux côtés de son Guy, tandis que la maladie l'empêchait de profiter pleinement de sa retraite méritée, après une vie de travail en couple, au service des gens du coin.

Merci à Toi, Marcelle, pour cet exemple de vaillance et d'accueil, que tu diffusais, tout comme à ta famille qui ne manquait pas de te soutenir dans les difficultés hélas rencontrées, depuis quelques temps déjà.
Nos excuses aussi, d'avoir programmé trop tardivement (ce jour !), tandis qu'on nous informait samedi de la de ta situation critique, notre passage auprès de Toi, pour te redire notre Amitié et t'apporter encore tous nos encouragements dans ce Chemin de Croix interrompu à l'aube de la Semaine Sainte.

Nos pensées émues vont bien sûr vers Toi, libérée de tes souffrances, mais aussi vers ton Mari, notre Collègue et Ami Guy, qu'on continue de côtoyer avec bonheur, après la trentaine d'années de parcours "Commune" où le Respect, le Service et l'Estime prévalaient sur toute vision politique bornée.

Pars sereinement, Marcelle vers l'autre dimension, avec la satisfaction du service rendu, la fierté de la mission accomplie et le bonheur d'une famille élevée avec les valeurs que nous partageons.
Et à qui nous adressons ici aussi, nos condoléances empreintes d'émotion s'ajoutant à notre MERCI pour tous ces contacts chaleureux !

Au revoir, Marcelle !

Elle était belle, l'Amitié des deux voisines, que j'ai pu côtoyer aux cours, il y a environ 30 ans.
La sympathie aussi, que je partageais avec elles, qui ne manquaient pas de m'épater par leur originalité !

Comme l'Ami Francis, son papa, voici que Valérie aussi, nous quitte bien trop tôt, sans avoir pu exprimer toute sa grandeur et faire profiter de sa présence, un mari, des enfants et une maman qui n'ont pu la retenir. Ni ses proches et ses ami(e)s, du reste, qui doivent hélas lui dire "au revoir" aujourd'hui.

Merci pour ta présence, Valérie, qui as hélas suivi le même parcours qu'une autre Valérie, une Amie aussi, partie à 43 ans du même mal qui laisse pantois et implacablement incapable d'y faire.

Oh rage, oh désespoir ,oh infâme ennemi, qui vient ruiner le bonheur d'une petite famille qui ne demandait qu'à le cueillir avec Toi !
Et à qui je ne peux que dédier mes souvenirs heureux d'avoir connu Valérie et sa famille à qui je présente, avec un cœur gros comme ça, mes espoirs de vous voir surmonter l'horrible, avec l'aide de Celle qui s'en va et dont l'esprit se doit de vous animer et de vous aider.

Au revoir, Valérie, et Hommage à Toi que je salue ici déjà en pensée !

Que le lecteur veuille voir ici la marque de mon plus profond respect, fortement teinté d'admiration, et tout autant d'affection, pour Constant, cet homme, exemplaire dans son humanité, qui a su rendre si simple sa grandeur.

Je n'oublierai pas sa puissance tranquille et sûre, son ouverture d'esprit, sa culture, son intelligence, pas plus que son entrain, sa chaleur, sa générosité: son regard et son sourire en étaient les parfaits témoins.

MERCI de m'avoir tant montré, en étant simplement lui-même.

Pendant longtemps, à l'issue des séances du Conseil Communal, une majorité de l'Assemblée que je présidais à l'époque, a été saluer Jean-Patrick, en face,au "P'tit Bertrix", pour y poursuivre discussions et commentaires, tout en décompressant aisément ...

Accueil toujours sympathique et chaleureux, dans ce petit nid favorisant les contacts, et soulageant les estomacs, hélas enfumés à l'époque, les interdictions étant apparues nettement plus tard. Encore merci, Jean-Patrick, pour le service et la bonne humeur qu'on partageait volontiers jadis !

Voici 15 jours, tandis que je sortais des soins palliatifs, Michelle m'informais de la grave opération que tu étais en train de subir, et qui venait ponctuer ton état désespérément dramatique, dû, sans nul doute à ce brouillard habituel émis par l'Assemblée et par toi.

Je m'étais promis d'aller te saluer et te dire "au-revoir", quelques jours plus tard, mais je fus informé que, déjà, tu n'étais plus conscient.
C'est donc à la Chapelle du Prompt Secours de Cugnon, que j'ai été émettre un petit texte et une prière pour que ton cruel départ se fasse dans la sérénité pour ta famille et tes proches, que je soutenais là, indirectement.

A l'image de grand nombre de nos Citoyens, ce début d'année, je constate avec peine que tu nous a quittés en cette fin janvier.

Je compte bien aller m'incliner devant Toi et me joindre à l'Office pour ton départ, mais ne manque déjà pas ici, d'assurer Michelle et Franck, ainsi qu'à Jean-Claude et leurs proches, de notre sympathie renforcée dans ces bien tristes circonstances qu'ils traversent.

Courage à vous tous, et que la gentillesse de Jean-Patrick continue à vous fortifier !
Merci et au-revoir, l'Ami !

Un tonton comme on n'en fait plus! Son sourire coule comme du miel dans nos veines! Lui et ses frères et soeurs nous ont transmis la joie en héritage et Dien sait si c'est précieux

Un grand Ami s'en va hélas, le jour de l'hiver dont le souffle frais me donne la chair de poule ...

Car avec lui, c'est toute une histoire, que dis-je, un Monument de l'Histoire des Baudets qui s'en va sur un traineau de Père Noël avec grand déplacement d'oxygène !
Oui, pendant 20 ans en sa qualité de Président de la Nouvelle Académie des Baudets que nous avions ressuscitée, il a alimenté tant de recherches, de causeries, de partages des Richesses de nos Aïeux avec leurs joies et leurs peines d'Êtres humains exprimant leurs états d'âmes qu'il nous rappelait !

Mais bien longtemps avant aussi, on a perçu la grandeur de sa Connaissance de Bertrix Centre et proches environs, et la masse des témoignages ou objets retraçant notre Passé, hélas prêt à disparaître !

Grand merci à Toi, Yves, grand Ami de mon beau-père, pour le souci que vous aviez de vouloir sauver tout ce que vous pouviez des archives ou mémoires collectives, avec des spécialistes, tels Louis, qui, comme Toi, se demandaient comment pouvoir pérenniser un travail de fourmis dont le bénéfice risque de s'envoler, hélas, avec Vous !

A Michelle à qui je confiais, la semaine dernière, mon désir d'aller t'encourager, à vos enfants bien connus en classe ou ailleurs, l'expression de notre douleur partagée, de voir partir un historien qui avait encore tant à nous faire partager, fut-ce en Patois où il excellait aussi.
Un époux, un Papa, un Papy ...

Remets notre Bonjour, Yves, aux Collègues Académiciens qui t'ont précédés vers ce monde, où tu te risques à aller trop tôt, préparer le terrain des recherches tellement diversifiées.

Salut à Toi, l'Ami ; que ton esprit demeure longtemps encore avec nous !

Sincère condoléance

C'est un autre Jean, Fondateur de notre organisation culturelle royale qui s'en va, lui aussi, et à qui je tiens à rendre hommage pour cette précieuse étincelle ayant mis le feu aux poudres, générant l'actuelle explosion culturelle qu'on connaît dans le nouveau Temple au Pays des Baudets ...

Membre de l'Assemblée Générale du Centre ou Foyer Culturel, depuis 44 ans, j'ai souvent côtoyé Jean SEINLET, qui fut Directeur de l'Association, en ma qualité d'Echevin de la Culture puis de Bourgmestre,aussi, il y a plus d'un quart de siècle.

On se souvient encore de sa brève apparition en politique en 1970, et de sa passion pour le théâtre dont il vient de tirer le rideau pour partir jouer dans une autre pièce...

Salut à Toi, Jean, que je remercie ici au nom des acteurs de l'aventure enrichissante pour l'Esprit de tous.

Pensées pour Toi et pour ta famille à qui on tient déjà à présenter nos sincères condoléances en comptant bien la rejoindre pour l'office de l'au-revoir !